Le danger de disparition des espèces est bien réel et c’est une part de liberté, de beauté et du sauvage de nous-même qui nous quittera à tout jamais.
L’extrême attention que demande l’hyperréalisme me permet de rentrer en contact avec le vivant, d’être là avec lui et, instants magiques, de créer et transmettre sa présence.
Ma peinture pose une question toute simple aux visiteurs :
Ces peintures, là, devant vous, c’est de l’archéologie du futur ?